Sauvetage d’otages de guérilleros - Mission 9

Posté là depuis des heures. Ai suivi un déplacement suspect de guerilleros.
Pas encore repéré où ils avaient caché les otages.
Me fait incroyablement chié.
Vérifie mon équipement pour la 20ième fois, par ennuis.
Attend les renforts...
Bon sang ! Ca fait une heure que je leur ai communiqué ma position, et toujours aucun signe d'eux.
Ahhh, les jeunes, de nos jours.... ==

De mon temps, on se serait jamais permis de laisser poireauter un officier supérieur-

Ah, il y a du mouvement chez les guerilleros
Me prépare à une approche, renforts ou pas!

J'aime pas la jungle amazonienne, il fait chaud et vachement trop humide... J'arrive enfin en vue du camp.
Je vois le "Vétéran", ce type est un pro de chez pro selon les rumeurs, on verra ce que ça donne. À ce moment, un guérilleros sort d'un bosquet et est entrain de remettre sa braguette. Il remarque mon allié et sort son couteau pour l'égorger, mauvais choix, je fonce sur lui et le met au sol. Je lui disloque sa mâchoire d'un coup de poing et l'achève en broyant son larynx.
Je m'avance vers mon ami et me couche à ses côtés.

- Bonjour, je suis Leal et vous devez être le vétéran, ravi de vous rencontrer.
Je ne vais pas l'embêté avec le soldat qui aurait pu le tuer, ç m'est arrivé assez souvent qu'un blaireau tombe sur moi parce qu'il a ou plutôt avait du bol.

- Alors, quelle est la situation...
Vu le temps que j'ai mis pour arriver, je suppose qu'il a du surveiller les tours de gardes et les postes de surveillance ennemis. Je remarque son SPAS12, cool enfin un gas qui n'est pas pour la discrétion et sa tenue est super cool.

Ah voilà enfin les renforts! c'est pas trop...
Une seconde!? On ne m'a envoyé qu'un gamin, c'est une blague! On va jamais pouvoir sauver les otages avec un blanc-bec prétentieux et incontien-
Minute, celui-là a l'air...différent. Son regard est plein d'experience (je sais voir ce genre de chose-plus de 40 ans de combat-)
En plus son équipement est pas mal du tout: M16 commando avec lance grenade 40 mm, Wouah!
Et est-ce que ce serait du respect dans ses yeux?
Hahaha... Il me plait bien ce petit!
Je pense que les otages sont retenus dans la tour à l'extrémité ouest du camp-c'est la que la sécurité est la plus importante.
Pour les tour de garde, ils sont relever toute les 3 heures, mais après 2 heures, les gardes se relâchent.
Ce sera le parfait moment pour frapper.

- Ok, on suit quelle tactique, on fonce dans le tas ou on y va discret, je préviens que le deuxième choix, c'est loin d'être ma spécialité.
Vas-y dis qu'on y va bourrin, ça me changera des habitudes.
Je passe tout mon équipement en revue, M16 chargé, grenade engagée dans le lanceur, mes incendiaire bien accrochées, usp dans le holster.... Paré et prêt pour le combat. Je regarde un peu l tronche des gars d'en face, ils ont pas l'air commode mais si nous avons la surprise, on pourra tous les dégommé en moins de deux.

Je regarde dans mon viseur et commence à chercher le meilleur point d'entré. Clôture prêt d'un mirador, mauvaise idée. Par ce qui semble être la cafétéria, trop à découvert. J'ai trouvé, par la rivière, ils ont pas l'air de la surveillé et on pourra attaqué avec les otages dans le dos ce qui évitera quelques petits problèmes assez désobligeant.

-Dans un cas comme dans l'autre, je propose d'y aller avec l'aide de la rivière ça vous va le Vétéran?
Ce qui est bien avec les gens comme lui, c'est leur expérience du combats, on devrait s'en sortir si je suis bien ce qu'il dit.

Je dirais que, vu nos équipement, une approche furtif jusqu'à la tour des otages s'impose.
Mais dès qu'on les aura libérés, je propose une bonne vieille fusillade dans les règles de l'art!
Dernier check de routine du matos (vieille habitude): munitions, OK; grenades: 1 explosif, 1 flash et 1 inflammable
Bon, si le petit est aussi bon qu'il en a l'air cette mission devrait bien se passer...
Ah oui, mes médicaments...Ils sont là. Pour le moment, le coeur tient bon.
Mais avec ma chance...
J'espère que t'es prêt, Junior, parce qu'on est parti!

- OK, on y va...
Je m'approche discrètement du cours et entre dedans. L'eau est fraîche, j'espère juste qu'il n'y a pas de sangsues.

Arrivé en dessous de la tour, je m'occupe d'un garde en l'attrapant par la cheville et lui brisant la nuque avant qu'il n'ait le temps de produire un seul son avec sa bouche. Je monte dans la tour et tue un autre garde avec une technique similaire à la précédente. Voici les otages, une femme trois hommes et une gamine. Selon les informations de notre employeur, ce sont des bénévoles qui étaient venus aider un village de la région et ces salauds les ont kidnappé pour se faire de l'argents.

- On va vous sortir d'ici puis, on détruira ce camp avec l'agitation que ça créera vous pourrez rejoindre un hélicoptère situé à environ 3km d'ici, ça ira?
Cette méthode est violente mais on a une prime si on cause des dégâts matériels conséquent donc il est intéressant de le faire.

Le peu de pitié que j'aurais pu avoir pour ses salauds vient de s'envoler.
Les otages sont dans sales état et surtout, ils ont osé sen prendre à une gamine...

Je me suis toujours considéré comme un homme patient et qui fait un job moche mais nécessaire... Mais là!!!
Je sens le sang battre à mes oreilles et j'imagine tout ce que je pourrai faire pour leur faire payer cette infamie: leur briser tous les os du corps, non; les brûler vifs, trop rapide; les cribler de balles jusqu'à ce qui me supplient d'arrêter, pas encore assez terrible.
Tout ça en même temps: ça, ça pourrais me calmer, peut-être.

Leal, il est temps de déchaîner la fureur de l'Enfer sur ces pourriture !!!
J'attrappe mon SPAS 12 et me prépare pour un bon vieux bain de sang comme à Stallingrad 2 en 142.

- On y va !
Je suis descendu et rencontre un ennemi sur le chemin, un coup de crosse en pleine gueule le fout au sol et je le tue en lui écrasant la gorge avec ma botte. Mort violente et sale, rien à dire d'autre. À peine à l'extérieur, je tire avec le lance-grenade dans la cafétéria. Voilà un bon coup de pied dans la fourmilière, je me met à genoux, vise et tire. 1 mort, 2morts, 3morts, 4morts, 5morts puis le clic du chargeur vide. Je fais une roulade sur la droite et me retrouve derrière un rocher. J'enlève le chargeur vide, le remplace par un nouveau et charge la première balle dans la culasse. Je balance une de mes grenade incendiaire vers une bicoque d'où vient des tirs ennemis, au son je pense que c'est de vieilles AK-47. Ce flingue est vieux mais vachement efficace, je comprends pourquoi il est le plus construit au monde.

- Je prend le flanc gauche et vous le droit, ça vous va?
Tout en disant ma phrase, je me remet en position de tir et abat encore deux blaireaux qui ne connaissent pas l'utilité d'être à couvert il me semble. J'avance vers un des miradors et abat les trois sentinelles qui y étaient. Je me demande comment ça ce passe pour mon collègue.

Ahlalala, ces blaireaux n'ont sans doute jamais eu affaire à des pros. Ils ne prennent même pas la peine de se mettre à couvert.
J'en dégomme 4 en pleine poitrine, fais sauter la jambe de 2 débiles et arrache le bras d'un autre.

Soudain, un guerilleros me ceinture. Erreur fatale, crétin. Les enfants de la République du Kozovo de 154 ont plus de force que toi.
Je lui déboite les épaule, lui donne un coup de poing qui lui fracturent 5 côtes et le sonne d'un coup de coude sur le haut du crâne.
T'as fait chier la mauvaise personne, petit joueur.

J'empoigne mon arme et lui explose la tête à bout portant
Ah putain, j'avais pas pensé que ça saloperait mon manteau. Murphy je te maudis!!!

Je vois que Leal a terminé avec son coté. Bon, temps pour un regroupement stratégique...

Il y a trop peu d'ennemis pour ce camp....

- Y avais pas grand monde, à mon avis le gros de leur troupes doivent être parti quelque part comme pour attaquer un village par exemple.
Tout en disant ma phrase, je retire mon chargeur au trois-quart plein et le change part un entier. Je garde celui qui n'est pas complète pour des situation de défense car j'aime pas me retrouver à court de munitions. Je regarde les environ et réfléchi un peut... que pourrions nous faire pour gagner du temps au otage. Le gros problème c'est de savoir si on a assez de temps. J'observe et tombe sur ce qui doit être l'armurerie, j'entre et il y a ce que je voulais. Des claymores, précisément vingt qui attende d'être armée. J'en prends cinq et commence à les installé sur les endroits stratégiques.

- Je propose qu'on piège la zone puis qu'on retrouve les civils pour les escorté jusque la ZA.
Je doute qu'il aille quelque chose à redire à ma stratégie mais je suis prêt à appliquer n'importe quel plan venant de Hall'.

- Quand ce sera fini, ça te dit d'aller boire une bière?

Tout faire péter, ça c'est un plan que je peux suivre!!! Mais faudrait donner une sorte de signal pour faire rappliquer le reste de ces connards.

Pendant que nous cogitons, je recharge mon arme que j'avais précédemment vidée. Vu ce qui nous attend, faudra pas tomber à cours de munitions.

Un truc qu'on pourrait faire, c'est mettre le feu à la tour. La fumée devrait monter assez haut et les attirer dans notre piège.

Je me dis soudain que vu l'équipement de ces gars, il y aurait peut-être de vieilles armes de collection là dedans.
Je pars fouillee la salle d'armes quand je vois un magnifique BREN. Je bondis dessus comme un bleu sur une grenade (si si, ils font ça) et là, SACRILEGE!!! ils l'ont laissé à l'abandon comme une vieille chausette et s'en sont servi comme des amateurs.

Ca prendra du temps, mais je devrais pouvoir le remettre en marche en 5 min. Et avec les 5 autres chargeurs, on aura de quoi parer à des "impévus".

- Ok, occupe toi de ça je termine l'installation des claymore.
Après 5 minutes, j'ai fini mon travail et je me suis servi des grenades des guérilleros comme piège (j'ai toujours du file de pêche dans ma poche fourre-tout. Je suis peut-être pas un professionnel des pièges mais j'en connais deux-trois qui fonctionnent assez bien. maintenant, il faut trouver un moyen de les attirer...

- J'ai fini les piège, je réfléchi comment les attirer et dépêchez vous de finir de réparé le BREN s'il vous-plaît.
En entrant pour la troisième fois dans l'armurerie, je vois une caisse de fusée de détresse, voila ce qu'il nous fallait. Je les prend et le monte sur un mirador, je les étale un peu partout puis redescend. Je trouve du vieux tissu et de l'essence, de quoi faire une belle fumée noire. Une fois mon truc installé, je décide d'appeler pour savoir si j'allume le dispositif.

- Hall', c'est bon, je peut allumer le piège à moustiques.
J'espère qu'il a comprit de quoi je parle.

Fais les venir, Rico, j'suis prêt à les recevoir!

Le BREN est comme neuf maintenant. Ce fut plus difficile que ce que je pensait (qu'est-ce qui ont fait avec, planter des clous?creuser des trous?) mais j'en ai vu d'autres: en Pologne, en 147, j'ai rafistollé une MP 40 complétement fichu avec du scotch et du picrate local (pour décoller la rouille). Je vérifie quand même que toutes les mécaniques glissent bien.
J'exibe ensuite fièrement mon arme, l'air de dire : "ils font sacrément en chier!!"

Cependant, avec la retombée de l'adrénaline, je me rends compte que j'ai un assez gros point de côté...
Bha, c'est probablement rien!!

Ils vont regretter le jour où ils sont nés.Vas-y, allume, et que le spectacle commence!!!

J'allume le feu de joie et glisse à l'échelle pour éviter de rôtir avec. On se met en route au pas de course, après dix minutes, j'ai rattrapé les civils et cinq minute supplémentaires sont nécessaire pour arriver à la ZA. C'est un ancien laboratoire d'étude de la faune, l'employeur à bien choisie l'endroit, les dédale du bâtiment sera parfait pour la défense. Sur le chemin, j'ai pris la petite à bras, les autres ne sont pas assez en forme pour la soulever même si à mon avis elle pèse pas plus de 20kg. On monte et je leur dit d'attendre sur le toit et part me chercher ne position de tirs. Je le trouve, un trou d'une vingtaine de centimètres dégagé vers la forêt et l'entrée principale. Je me couche et passe mon M16 en mode semi-automatique.

- En position et prêt à tirer!
J'envoie le message gr^ce à ma radio et suppose qu'il à due trouver une bonne position lui aussi. Au loin, des explosions se font entendres au loin. Je pense qu ça ne leur à pas trop plu de se faire avoir comme des bleus.

- On les a eu, espérons qu'il n'y en aura pas trop qui viendront par ici
Quoique, j'ai envie d'en tué plein mais je ne sais pas pourquoi. Si, à cause de la gamine, j'aime pas qu'on mêle les enfant à ce genre d'histoire.

- Ici écho trois, arrivé estimer dans trente minutes, ça ira pour vous?
L'hélicoptère est bientôt la, tant mieux.

Bon, j'ai réussi à me trouver une bonne planque au-desssus de la porte: je peux les toucher et eux ne peuvent pas.Excellent!
Je pense que je vais privilégier le BREN; une arme automatique est plus efficace dans notre situation que mon SPAS 12 (à mon grand regret)
J'ai établie une ligne de communication avec les otages pour être certains que rien ne leur arrivera.

Par contre, je me sens étrangement essoufflé, comme si j'avais un poids dans la poitrine... J'espère que ça passera avant que les ennemis ne rappliq-

Rico, je crois qu'on est repéré. En effet , je pouvais voir les éclaireurs signaler la présence de notre abris à leurs copains.

Dis, si on s'en sort, l'invit' pour une bière tiens toujours?

Sur de sur et vous avez de la chance, c'est ma qui offre.
Tout en disant ma phrase, je tire sur une tête sortant d'un buisson, voila de quoi les avertir.

- Rico à écho trois arrivé dans combien de minutes?
Je tire en parlant, une dizaine d'ennemis sortent de leur couvert et foncent vers notre position. Deux fauchés par une de mes rafales et un autre avec la jambe presque coupée en deux. Je recharge et voit trois jeep blindée sortir d'un petit chemin un peu plus loin. Je rate mon tire de lance-grenade mais le schrapnell à blessé un des artilleur que j'achève en deux coups bien placé.

- Ben ça va, ils ont pas l'air d'être trop nombreux
Grenade réengagée dans le tube et une des jeeps explose d'un tir vraiment réussi, les débris projeté dans tous les sens éclatant la roue de celle qui suivait la faisant faire plusieurs tonneaux pour se retrouver sur le toit. Je retourne au fantassins car une nouvelle vague d'encore une dizaine de gars sort de la forêt.

Chapeau, petit. C'était un beau feu d'artifice! je balance dans ma radio en engageant la première balle dans le BREN
A mon tour maintenant.

Sur ces bonnes paroles, je sors légèrement de mon couvert et vide mon chargeurs sur les premières lignes. Je fauche au moins la moitié et je mutile l'autre. En rangs serrés comme ça, c'est facile de faire un carton.

Je me remet à couvert et recharge, quand je me rends compte que j'en ait laissé passer quelques uns
Putain, j'ai vraiment perdu la main-c'est dans ces moments là qu'on voit qu'on vieillit.
Bon, ben accueillons les comme il se doi-


Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase. Une violente douleur me traverse la poitrine, si forte que je perd l'équilibre et me vautre, par terre, 1 étage plus bas.

vision trouble,...médicaments pas là, ont dû tomber de ma poche durant la chute...putain!
des pas approchent, ils m'ont repéré, ils ricanent et empoignent leurs armes...

fais chier!...40 ans de métier, pour finir comme ça, abattu par des péquenots...

On dirait que t'as fini par gagner, Murphy...
J'aurais bien tenu, hein...mais pourquoi comme ça?...
...bon, ben...tans pis...

faites de votre pire, crevards!...

Un bruit sourd me fait me retourné puis j'entends Hall' juré. Merde.. il se passe quoi, même si je devrais rester, je descend pour voire ce qui se passe ici. Re-merde, il est au sol et deux guérilleros s'approchent de lui.

- Crevez enfoirés de mes deux!
Je vide mon chargeur dans les deux types qui affiche sur leur tête une expression de surprise après leur mort. J'ai été discret? Mais à ce moment, trois autres montent l'escalier, pas le temps de recharger, je lâche mon M16 et sens la bandoulière qui tire sur mon épaule. Je dégaine mon USP et en abat un puis les deux me foncent dessus avec leur couteau. Mauvaise idée qu'ils ont eu, un coup de pied en propulse un sur le mur et donne un coup de poing en pleine mâchoire pour le suivant. Lorsque que le premier ce relève, je lui renvoie un coup de pied mais en plein sur le menton, sa nuque craque violemment. L'autre se relève et je lui saute dessus, lui attrape la tête pour lui crever les yeux. Pour l'achever, je lui fracasse le crâne par-terre. Je recharge à pleine vitesse mes armes et me mets à genoux prêt de mon collègue.

- T'as été touché?
Pendant que je me posais la question, je refaisais le compte de mes munitions: 4 chargeurs de M16, 4 grenades de 40mm et 2 chargeurs d'USP. Je remarque enfin que je saigne... L'adrénaline a du m'empêcher de sentir la douleur mais maintenant, j'ai vachement mal.

Mes médicaments...ils doivent avoir rouler quelques part...
j'arrive à articuler difficilement ces derniers mots avant de me sentir sombrer...

Et ben,...J'ai survécu,...J'adore quand je fais ça,...
Bon, bah je crois que je dois au ptit au moins 10 tournées de bières, 15 si il retrouve mes médica-
Ah oui, chuis pas encore sauvé,...

...zut

Bah, il va me les trouver, j'le parirais bien si j'avais pas cette saleté d'ordre de restriction...
tu tabasses une demi-douzaines de racailles parce que ils ont truqués les courses (et que tu es un peu-bon d'accord- vraiment très soul) et voila, t'es interdit de tout les casinos du pays...
Ah, regardez-moi, je radote comme un ancêtre...c'est moche de vieillir...
Mais, j'ai encore un job à faire! J'ai abandonné avant la fin du combat, mais on ne m'y reprendra pas! Je jure que quand je me réveille, je vais leur botter le cul tellement fort qu'ils vont voir la courbature de la Terre-
Tiens, j'ai l'impression de recevoir des baffes...

- Ici écho trois, arrivé dans 2 minutes
Ok, bon timing. Je prend hall' sur mes épaule et espère que ça va pas trop le faire souffrir, pour ma part je sens très bien la balle que j'ai reçu. Je me dirige vers les escaliers et voit une boite de médoc qui traîne. Je l'attrape et monte. Mon apparition fait peur aux civils mais pas le temps de les rassurer.

- L'hélico est bientôt la, surveillé Hall' et donné lui ça, je crois qu'il est dans cette état parce qu’il ne les à pas pris.
Je couche mon coéquipier sur le sol et passe la boite à la femme. En me retournant je vois la tête d'un guérilleros. Trois balle dans la tête et il disparaît à l'étage du dessous. Je balance mon incendiaire pour bloqué le chemin à ces salauds. Je regarde le ciel et voit la silhouette de l'hélicoptère. Je me remet en position défensive vers l'accès au toit, quatre ennemis sortent d'un coup mais je les fauches en vidant mon chargeur et les deux qui les suivaient on eu droit au tir du lance-grenade. Je recharge et me demande dans quel état est Hall' mais je peut pas quitter l'escalier des yeux tant que des cons armés rodent en-dessous.

Gahhhhhh....... AH BAH PUTAIN!!!!

Je reprend connaissance et me rend compte que c'était la fillette qui me fillait des baffes pour me réveiller.
J'aurais aimé lui dire merci... et de ne jamais plus recommencer, mais je m'apperçois que 2 guérilleros s'approche de Rico qui ne les a pas vus, trop occupé qu'il était à surveiller l'escalier.

Plus par instinct que par pensée, je saisi mon magnum 44 et le vide sur ces pourris.
Résultat des tirs: chacun c'est pris une balle dans la main leur faisant lâcher leurs armes, mais ils ont également au moins un poumon perforé; mais ils ne gémissent pas trop grâce à la balle logée bien profondément dans leurs crânes...

Cool, j'ai pas perdu la main depuis l'époque de ma carrière dans les forces de l'ordre.
Eh eh, il est toujours au niveau, l'ancêtre

Les coups de feu me font me retourner, je dois ma vie au vétéran. Cette dette, je m'en souviendrais toute ma vie.

- Merci boss, la tournée sera pour moi
L'hélicoptère nous survole et j'observe les civils grimper dedans. c'est un Blackhawk, vieux modèle mais près de 200 ans de grands service. Je mets mon M16 en bandoulière et attrape les épaules de Hall' pour le faire entrer. Il est pas léger.

- Ok, tout est bon, décollez
Nous grimpons dans les air quand des balles fuse sur la carlingue. Je prend la M60 et pilonne la forêt. Nous nous éloignons de la zone d'évacuation et après cinq minutes, je lâche l'arme et m'assois sur un siège. Purée, je suis super fatigué...
Le silence règne dans l'hélico mais je vois le sourire de la gamine et je suis bien content qu'on aille réussi à les sortir de là. J'enlève mon gilet pares-balles et dépose mon équipement par-terre. Je prend le kit de soin, je me sert d'une seringue de morphine pour apaiser la douleur puis retire la balle avec les doigts. Pour finir, je stérilise la plaie avec de l'alcool et met un bandage autour.

- Toi ça ira?
J'ai toujours pas compris ce qu'il a mais j'ai pas envie qu'il me claque devant moi.

C'est juste...une maladie cardiaque...chronique...C'était une crise assez violente...mais j'ai déjà eu pire...
Tant fait pas, ça passera avec 2-3 litres d'alcool

Je voyais défiler le paysage, la jungle amazonienne dans toute sa splendeur, la fumée du toujours en feu camp des guérilleros, mais surtout, j'admirais les visages radieux des otages qui avaient sans doute perdu espoir de sortir de cette jungle vivants.
Eh ouais, il y a quant même de bon côté à ce métier de barge...


Bon, bah...je crois que l'on peut dire "mission accomplie"...
Eh, Echo 3, après avoir ramener les otages, déposer nous au bar le plus proche!!!
Leal me doit une tournée, et je lui en doit une aussi!!!