Assassiner un dirigeant en Amérique du Sud (Avant la taule)

Aujourd'hui, direction le Brésil. Plus précisément Brasilia. On m'a foutu une espèce de ninja sur le dos en plus. Je ne sais rien de lui à part qu'il est indépendant et qu'il s’appelle Méphistophélès. Surement un usurpateur qui croit qu'en prenant le nom d'un de mes aïeux, il sera plus menaçant. Je suis sûr que c'est une espèce de lopette qui ne sait pas tuer "correctement" les gens, en les regardant droit dans les yeux!
Allons, mon fils, garde ta colère pour l'assassinat. Elle te sera bien plus utile à ce moment.
Pardonnez moi père.
Vous avez raison, père, rien ne sert de s'énerver. Le bâtiment cible est enfin en vue. Je vais faire mon entrée habituelle: avec mon bolide je vais défoncer les mur principale en essayant de chopper le maximum de gardes. J'accélère, histoire d'être sûr que le mur s'éventrera comme la chaire sous une lame. Le moteur fait un vrombissement mais j'entends un autre bruit, un bruit extérieur. En regardant derrière je vois une espèce de bécane. C'est surement mon "associé".
Quelques secondes plus tard, la petite garnison devant le bâtiment n'est plus et le mur frontale est défoncé. Un garde, de l'autre côté de la salle dans laquelle je viens de débarquer pointe la bagnole avec son fusil. Il veut que je sorte les mains en l'air. Autant se montrer civilisé! Je sort du bolide en toussant et en faisant semblant de m'extirper avec difficulté. Je me dirige vers le garde en titubant.
Dieu merci vous êtes là! Il faut absolument que vous m'aidiez!

Heu, quoi?! Est-ce que vous allez bien?!
La technique marche. Il baisse sa garde. J'en profite pour empoigner Dark Soul que je sort de mon imper en tranchant le torse du mec. Il tombe par terre et je l'achève en plantant ma lame dans son coeur.
Je vais très bien et vous-même?
Quelqu'un s'approche, je me retourne et vois un type un peu bizarre dont la tête est recouverte d'un capuche.
Ah... Je suppose que c'est toi Méphistophélès?

Cette grande brute croit peut-être me faire peur mais je vois déjà son point faible , trop basé sur sa puissance et sa robustesse mais bon j'ai d'autre chat à fouter , un garde en train de gueuler charge vers nous .
je lui dit:
-laisse le moi , je doit m'entrainer un peu avant la grande turie

Je me raproche en marchand du garde qui continue de courir vers moi sans savoir qu'il va mourir .
Il ce prépare à m'enfoncé sa baïonnette , je sors ma lame qui commence à rougoyer en 1 seconde , je coupe sa baïonnette en deux puis je lui sépare la tête du corps .

le sang gicle partout et je regarde la tête du garde par terre avant de l'écraser comme un mégo de cigarette

le grand baraqué c'est de quoi je suis capable maintenant

-bon où il est ce foutu dirigeant ??

Il me sera peut être plus utile que je ne le pensais. Pour le dirigeant je sais bien qu'il se trouve dans un bureau au troisième étage mais maintenant, il a sûrement du faire appel a sa garde rapproché vu le remue-ménage qu'a du faire l’effondrement du mur.
J'en sait rien. Pour être sûr il faut se les faire tous! Toi occupe toi de cet étage, moi je monte au second.
J'arrive à peine à la passerelle au dessus de "l'entrée improvisée" que quatre gardes me braquent déjà de leurs armes. Il veulent que je pose mes armes alors j'attrape mon lance-flamme. Je leur dis que je m'exécute, qu'ils ne me flinguent pas. A ce moment là, j'appuie sur la détente. Ils ne voient rien arriver et se font carboniser vif. Ils n'essayent même pas de me tuer, préférant essayer d'éteindre le feu qui les dévore lentement. Une fois qu'ils sont morts, le feu s'éteint de lui-même. Je passe alors en enjambant leurs cadavres calcinés. La délicate odeur de chaire brûlée qui s'échappe des corps m'a toujours fait triper.
J'arrive alors dans une espèce de réception ou une femme se glace en voyant mon visage et la peinture squelettique qu'il y a dessus. Je m’accoude sur son bureau et lui demande ou je pourrais trouver le dirigeant brésilien. Elle essaye de dire qu'elle ne sait pas où il est vu la situation du bâtiment.
C'est marrant, vous êtes la première aujourd'hui qui faites attention à ma "peinture de guerre".
Je prends alors la femme par la gorge et la fait passé de mon côté du bureau. Elle est a quelques centimètre du sol. Je lui demande encore une fois où est le dirigeant mais elle ne coopère toujours pas. L'interrogatoire continue encore une petite minute puis la "secrétaire" commence à perdre connaissance.
Bien, tu ne me sert plus à rien, pauvre conne!
Je l'achève en enfonçant les lames de mes bagues dans sa gorge Puis je la jette de l'autre côté du bureau, à sa place. Je retourne sur la passerelle et gueule suffisamment fort pour que l'autre puisse m'entendre.
Pas moyen de savoir ou est le dirigeant, et de ton côté, comment ça se passe?

bon l'autre est parti , sa fait un poids en moins pour mes déplacements
j'entend une dizaine de garde arriver par le trou dans le mur , chouette de la baston
je me laisse encercler par ces gardes ... nom de dieu des gardes gouvernementaux , sa veux dire que le dirigeant n'es pas à l'étage , mais bon la baston d'abord , ils forment un parfait cercle autour de moi , bande d'imbéciles

-jetez vos armes à terre
- je peu pas , venez me les enlever

un garde s'approche , j'active ma bombe de fumé instantanée , le noir total , ils ne voient rien moi je les vois , sa ma servi ces 5 ans dans le noir car maintenant je vois tout

je me couche à terre alors qu'il tirent je ne sais où , 6 mec son déjà mort , je tire avec mon bras pistolet sur un garde , je cours vers un autres lui plante ma lame dans le ventre en l'entendant gueuler sous la douleur je lui prend sont fusil tue le 3eme
la fumé tombe et le 4eme soldat me vise avec son fusil et il me dit :
-les mains en l'air ou je tire
-tire mon vieux sa te vaudra une médaille

il me tire dessus, par réflex je me protège avec mon bras métallique sur lequel ricoche les balles et qui lui transpercent la jambe gauche et sa main droite, je cours vers lui et lui saute dessus, je lui détruit son système de communication et lui montre ma lame rougeoyante
-où est le dirigeant???
- je ne dirai rien
- oh si je te tue non mais te laisser souffrir oui, alors où il est ???
-euh

je lui enfonce ma lame brulante dans le bras puis remonte vers la main , il gueule de douleur , c'est rien par rapport à ce que j'ai endurer

-alors
- dans le bunker au 5eme sous sol , il est inviolable vous y arriverez jamais
-c'est ce qu'on va voir

je lui enfonce ma lame dans la poitrine sans le tuer pour qu'il souffre et meurt très lentement

j'entend l'autre con gueuler je lui répond qu'il faut redescendre et ramener des explosifs si il en trouve:

-descend il est dans le bunker en dessous , mais d'abord est ce que tu as des explosifs???

Bon, des explosifs... Fait chier, j'ai pas l'habitude de cette merde! Heureusement les gardes cramés avaient quelques grenades dans leurs casiers. Ça plus toute la poudre dans les munitions des chargeurs, ça devrait suffire à faire péter une porte blindée.
Ouai c'est bon, j'ai le matos!
Je prends les pétards dans un sac et je descends en demandant à l'autre de garder l'entrée, pour pas qu'on me tombe dessus par derrière pendant que je met les explosifs en place.
Une fois en bas, je m'occupe à préparé un beau feu d'artifice souterrain en foutant tout ce que je peux un peu partout autour de la porte. Une fois que c'est fait, je gueule à Méphisto que ça va péter et j'allume avec mon lance-flamme. La porte a volé en éclat comme je l'espérais.
Dans le bunker, y'a au moins 25 mecs armés jusqu'aux dents en plus du dirigeant. Je sais pas si l'autre est derrière moi mais dans une situation pareil je m'emmerde pas: j'avance en sortant Dark Soul et faisant cracher mon lance-flamme un peu partout. Dans la première minute, y'a sept mecs qui sont carboniser, quatre autres qui sont en morceaux. Je m'arrête un instant pour chopper un mec à la gorge et la lui transpercer avec mes bagues. Je goute son sang qui s'écoule de se gorge comme d'une fontaine. Il est encore chaud. C'est encore mieux! Selon les traditions sataniques, boire le sang ennemi nous renforce dans notre tâche. Une fois rassasié, je ne m’essuie même pas la bouche, encore dégoulinante de sang, et je repart à l'assaut d'autres gardes.
Quand le carnage est terminé, il ne reste plus que le dirigeant dans un coin sombre, terrorisé. Méphisto est à côté de moi. Je brandis alors Dark Soul vers notre cible.
Faisons ça ensemble, pour fêter notre premier succès!

- attend une minute avant qu'on le tue, je regarde s’il n’a pas de bombe régler sur son cœur comme moi, c'est une très bonne protection et un bon moyen de se venger de ses assassins.

Je le fouille puis le regarde à l'infra vision, aucune bombe cependant une puce électronique est relier, une puce pour ramener la garde, toute la garde, l'armé quoi, je ne le dit pas à bahal sa saura son cadeau de fin de mission

ok il a rien , à trois on y va

Je prépare ma lame en le tenant par derrière, je l'égorge tandis que bahal lui plante son épée dans le cœur et descend vers les tripes, c'est immonde

La puce c'est bien activé en silence, parfait

Nous sortons du bunker et montons au rez-de-chaussée

- je vais sur le toit pour apprécier la vue tu peux y aller si tu veux, et ne pique pas tout le blé claire

Je monte sur le toit tranquille, sur le toit je vois un contingent d’à peu près 50 hommes et 6 chars, bahal va bien s'amusé tandis que je vais le regarder, ben tiens le voilà qui sort et qui se fout à couvert derrière des sacs de sables.

Il est en train de me traiter de tous les noms

C'est bien ce que je me disais: Cet espèce d'emmerdeur porte injustement un nom honorable. Soudain, j'ai une idée pour faire d'une pierre d'eux coups. Je rentre en quatrième vitesse dans le bâtiment, je démarre la bagnole et commence à détruire les mur intérieur et les deux mur extérieur adjacent à celui que j'ai détruit un peu plus tôt. Mon plan marche à merveille: la bâtiment s'effondre droit vers les troupes ennemis. En s'écrasant, il détruit les chars et les deux destruction combinées anéantissent au moins la moitié de la petite armée qui se dirigeait vers ma position. Si Méphisto n'est pas mort, il ne peut qu'être dans un sale état.
Une fois que c'est terminé, le groupe de gardes est divisé en deux. Sans réfléchir, je massacre le groupe en face de moi en leur roulant dessus avec mon bolide. Après ça, je fais le tour et je lance la bagnole à pleine vitesse avant de sauté en route. Elle s'arrête quelques mètre et quelques gardes plus loin. La dernière dizaine se fait vite carbonisée.
Une fois que c'est terminé, je me retourne vaguement vers les gravas du bâtiment, plus rien ne bouge à l'horizon, je suis seul avec ma bagnole. Je ne m'attarde pas et je pars vite rejoindre le camp d'où je suis parti. J'expliquerai au patron comment Méphisto c'est comporté durant cette mission. Je pense qu'il aura quelques petits problèmes s'il veut retravailler avec des terroristes de notre faction.

Ce Bahal n’est pas un amateur, aie, cette poutre me casse les cotes, je la coupe grâce à ma lame chauffé à blanc et me relève.
Le salaud, il détruit ma bécane, je crie mais il ne m’entend pas et il se casse à vitesse grand vé. Fais chier j’ai plus qu’a rentré à pied , fait chier , je crève de mal à ma jambe et mes cotes , bon avec Bahal je retiens prendre un parachute si je suis en hauteur , bon je prend ma bécane , c’est une bonne raison pour mettre de l’armement maintenant qu’elle est cassé .

Le fric est viré sur mon compte de toute façon et je viens de me forger une réputation chez les Hell’demon, je désactive ma bombe et je me casse de ce champ de mort

Manque plus qu’à dire à Jack white que le boulot est fait et puis je peu passer une semaine tranquille à bricoler ma bécane et attendre que soit les Hell’demon me rappel ou que je me propose pour l’ I.S.M.

Mais maintenant repos et entrainement ensuite

-Bahal tu me le payeras un jour, mais je te le dit on c’est quand même bien marrer tout les deux!! hahahahahahahaha!!!!!