Combat dans les ruines d'Uranium City: mission 21

La mission est simple: tuer tous les type de la ville. J'adore ce type de mission où réfléchir est presque superflu. je sais que Hall' sera là ainsi que deux autres mercenaire. D'ailleurs en voila un d'entre eux. Il me fonce dessus et me donne un coup de poing, je réplique. Je comprends pas ce qui se passe jusqu'à ce que je reconnaisse le gars en face de moi.

- Putain, putain de nom de dieu, c'est toi Siegfried
- Oui, j'ai écouté ton conseil et tu avais raison, j'étais sur la mauvaise voie
On s'attrape les bras l'un de l'autre et nous mettons à rire. Je suis heureux qu'il nous aille rejoint, c'est un professionnel et je pense qu'il vaut plus que moi en efficacité. je regarde un peu son équipement, il ressemble au mien, c'est l'arme qu'il a qui est la plus grosse différence.

- Au fait, c'est quoi ta spécialité?
- Les piège, je suis doué pour des piège de tout genre ainsi que pour le combat urbain
C'est parfait. Il sera dans son élément ici. Moi avec Hall' nous serons la force de frappe tandis que lui sera notre éclaireur et notre soutien tactique. Je vérifie mon matériel et il en fait de même.

- Au fait, Hall' est célèbre dans l'agence, c'est le vieux qui était avec toi lors de l'attaque du camp?
- Oui, mais respect le un peu plus s'il te plait, c'est un vétéran et il a droit a la considération des jeunots comme nous
Je me rappel, il y avait aussi la petite là... comment elle s'appel déjà? je sais plus, demanderais à Hall' quand il arrivera.

Ah, enfin une mission où je pourrais me lâcher, j'ai d'ailleurs pris de quoi: mon fidèle SPAS 12 avec la moitié des munitions exlosives, l'autre incendiaires, 4 grenades explosives et Betty (bien sûr)...

C'est la que je croise un autre mercenaire de l'ISM, que je n'ai jamais vu avant...
salut, moi c'est Hall' "le vétéran"
Hall'...ah, oui, le vieu-
Ne termine pas cette phrase!!
D'ac-d'accord...Hum-hum, moi c'est Jack Boar, dit Malleus!

Il a une drôle d'allure, habillé en jaune, et armé d'un marteau...il a une dégaine de démollisseur, Ca tombe bien!!!

Allez, viens, je vais te présenter u pote à moi...

Hall' ainsi qu'un autre homme arrive. Il porte la tenue des ouvriers internationaux... je comprends pas mais pas grave, si c'est un homme d'ISM, on doit pourvoir lui faire confiance. Je me demande si Hall' se rappel de Kurz.

Salut Hall', et salut à toi l'ouvrier
- Bonjour, je suis l'homme qu'avait laissé s’échapper Rico lors de votre mission en France
Cela ne semble pas pausé problème à Siegfried de parler à un type qui a tué des de ses amis. Moi ça m'énerverais mais chacun sa façon de réagir. J'observe le nouveau, il a un marteau comme arme c'est pas très conventionnel je trouve. Je remarque aussi qu'une arme est caché sous son manteau. je me suis déjà occupé d'une révolte violente d'ouvrier à Mexico, le manteau jaune foncé est couvert de plaque métallique. Même des balle de fusil d’assaut ont du mal de passer ce genre de protection.

- Bon, ça va être quoi la tactique aujourd'hui, on bourre dans le tas ou on essaye quelque chose de plus subtile
Je suppose qu'un peu de tactique ne peut pas faire de mal.

Bon messieurs, je propose le statégie PTP: pister-trouver-pulvérisez!
On va se séparer en 2 groupes: Rico et Siegrfied, vous passerez par l'ouest en attaquant d'abord le sud, en flinguant tout le monde!Moi et Jack, on prend l'est en passant par le nord! On se retrouve au centre de la ville!
Dispertion!.......
Je sais ça fait con, mais bon...

Nous nous enfonçons dans le dédale de ruelle de Uranium city, prêt à botter des culs !!!

Nous nous séparons donc. Siegfried mène, circulons dans la ville par les ruines d'anciens bâtiments. On s'arrête à un carrefour.

- c'est un parfait endroit pour tendre un embuscade
- C'est toi le pro
Je regarde et trouve ma future position: au deuxième étage de l'immeuble d'en face je vois une fenêtre ni trop large ni trop petite soit le bonne endroit pour canarder sans trop de risque de réplique. Je monte non sans mal et regarde ce que fait Siegfried. Il installe un filin minuscule à certain endroit mais je ne sait pas ce que c'est censé faire. Le bruit d'un moteur approchent se fait entendre. Mon ami fonce dans les ruines d'où nous somme arrivé. Il faut cinq minutes pour que nos ennemis se trouvent au milieu du carrefour. L'un d'entre eux tombe puis on entend une explosion suivie d'un grondement, un des bâtiment s'écroule sur l'avant de la patrouille. Bravo à toi Siegfried, joli coup. Je compte environ quatorze survivants à la chute de pierres. Je met mon M16 en semi-automatique. Mon premier tué l'est d'une balle en plein coeur, le suivant d'une balle dans la jambe puis je l'achève d'une balle dans le bide. Kurz lui, fait tir dans la tête et en abat trois en je dirais vingt secondes. Ils commence à riposté, je me met à couvert et rampe vers un trou d'où je pourrais tirer. Je vois mon coéquipier qui s'enfonce dans les ruines suivi par deux hommes. J'entend leur cri d'agonie et cela fait ce retourner les sept derniers. Trois meurt avant qu'ils ne se rendent compte que j'ai changé de positon et les quatre autres crèvent d'être resé trop groupé. Un tir de lance-grenade et on en entend plus parler.

- Ok c'est bon, je te rejoint au rez-de-chaussez
Tout en descendant, je recharge mon tube lance-grenade et mon M16. Je garde toujours le chargeur au cas où.

Sur le chemin, Jack et moi discutons:
Alors comme ça t'a un bras bioméchanique...La vache, on dirait un vrai!
Ouais,c'est la classe! Et toi, parait que t'a fait toutes les guerres des 40 dernières années!
Ouais, c'est vrai
T'as déjà tiré tout en sautant en l'air?
Ouaip!
T'as déjà fait exploser un tank?
Ouais, je crois bien...Et toi, t'as déjà abbatue une division toute entière?
Ouais, à mains nues!
Pas mal, pas ma-

Une patrouille nous tombe dessus
Et merde...Tu sauras te débrouiller Junior
C'est pour vous que je m'inquiète, vous-êtes certain que vous allez tenir la distance?!
Ah, regarde le maître à l'oeuvre, petit!

Nous continuons notre route, nous arrêtons juste pour permettre à Siegfried de placer quelques pièges.

- Là-bas, de la fumée... y doit y avoir un camp
En effet, un avant poste avait été installé par le soin dans ce qui du être un commissariat avant. La fumée vient d'un barbecue qu'ils ont construit avec un vieux grillage et quelques briques de béton. L'odeur est appétissante en tout cas. Nous sommes à une centaine de mètres, caché derrière un mur. Des trous causé par des balle de ce que je dirait être un cal.50 automatique, nous permet des les observer sans être vu. Ils sont cinq à l'extérieur autour de leur repas mais d'autres doivent se trouver dans le bâtiment. Je cherche comment attaqué pour avoir la meilleur efficacité.

- Je vais me mettre là haut, je te couvrirais pendant que tu t'approcheras par derrière, ok?
Je vois le plan, il se met dans la tour et en tue quelques uns pour les faire sortir et j'attaquerais par derrière comme ça ils n'aurons pas de couvert. j'attends cinq minutes le temps qu'il puisse monter. Je part pour les prendre par surprise lorsque j'entends Kurz commencer. Le premier tir arrache la tête d'un type qui allait manger une merguez. Le suivant une en plein coeur et après sa chute, son corps est pris de violentes convulsions. Comme je le pensait, huit autres types sortent en trombe et pilonne le bâtiment, ils ont pas repéré la position de mon coéquipier. Tant mieux, les coups de feu cessent. Ils rechargent et chercher le tireur embusqué. j'entre dans leur avant-poste. Des matelas traînent par-terre ainsi que des caisses de munitions. Je monte à l'étage en silence quand je tombe sur un gamin de dix-sept ou dix-huit ans. Il me regarde et je l'observe, il porte un uniforme plus remplis que les autres et un képi avec dessus le grade de lieutenant. Je lui donne deux coups de poings en pleine face puis un genoux dans les boules, il est au sol. Je me met à croupi et lui brise la nuque.

- Tu te dépêcherais pas un peu
- Désolé, y restait leur chef dedans
Je trouve mon bonheur, un GP12 chargé et paré à tirer. pile, ce qu'il me fallait. Je trouve une fenêtre et remarque tous les ennemis planquer sous les carcasses de voitures ainsi que des barrière en béton. Je me met sur le balcon, bien visible.

- Salué la mort pour moi les gars
Ils se retournent et me regardent avec de l'incompréhension. je vide alors le chargeur dans leur tronches d'ahuris. Tous morts, ils reste des munitions dans le chargeur mais je jette mon arme puis retourne cherché mon M16.

-Secteur dégagé, tu peux venir
- J'arrive...
Je sens une douleur dans le dos et me retourne, deux types sont devant moi. Je bourre dans le premier et le fout au sol. Une torsion de son coup et je n'en entend plus parlé mais l'autre me met ausol et approche un couteau de ma tête. Je le retiens en lui prenant le poignet. Ma main de libre s'abat deux fois dans sa tronche mais il ne réagit pas. Costaud le bougre. Sa lame s'approche de plus en plus de mon oeil, même à deux mains j'ai du mal de le retenir. Jusqu'à ce qu'un coup de pied dans le bide le propulse à deux mètres de moi. Puis un tir l'achève, je me relève et voit Siegfried rangé son arme dans son étui.

- Je te doit la vie je crois
- Alors on est quitte
Je regarde un peu autour de moi pour remarquer la chaise que j'ai du recevoir violemment dans mon dos. On redescend ensuite puis entrons dans le garage du commissariat. Un 4X4 blindé avec un minigun monté sur le toit apparaît. Je monte en tourelle et Siegfried prend le volant. On va s'amuser.

Le comabt est assez inégal; 7 gars armés jusqu'aux dents contre un vieillard et un mineur belge: ils ont aucunes chance!

J'en tranche un en deux avec mes balles explosifs pendant que Jack en dégomme un autre avec son MCP 52:
Tu tiens le coup?
Impec!! Ca baigne!!
Il décapite ensuite un assaillant qui tentait de le prendre à revers d'un coup de marteau!
Et vous, vous arrivez à tenir la cadence?
Pas de problèmes! C'est eux les vieillards poussifs et maladifs, pas moi!
J'assome un des garde, tire sur son pote qui explose, et un troisième se fait transpercer par un morceau de son bras!

Le dernier, leur chef tente de me ceinturer, mais Jack lui donne un coup de poing dans le bide qui le transperce!
de surprise etr de douleur, il me lâche et, parce que j'aime pas laisser les gens agoniser pendant 15 minutes, je lui met une balle, qui lui explose la tête et une bonne partie du buste.
Et vos missions se dpassent toutes comme ça?
Non, pour le moment, c'est encore assez calme-merde!!
Quoi, qu'est-ce qui se passe ?!
Un bruit sourd et menaçant se fait ensuite entendre...

...Murphy...

Je fouille un peu à l'arrière et tombe sur un plan détaillé des postions ennemis. Les point rouge sont les zones dangereuses tandis que les carré bleu signifie une position défensive. Je barre celle de notre position et regarde pour le chemin du deuxième. Pendant ce temps, Recht est parti je ne sais où mais il revient avec quelque chose d'appétissant. Une bonne merguez bien cuite pour l'estomac. On décide d'attaquer un camp en bordure. Je fouille un peu la base avant d'y aller, je met dans le coffre une caisse de quarante grenades à fragmentations. On démarre et prenons la première à gauche. Le plan est simple, on fait le tour et nous occupons des petits avant-postes au sud soit trois et deux camp de taille moyen. On verra pour faire l'attaque du QG ennemis avec les deux autres. C'est donc vers la base la plus proche que nous nous dirigeons. Le décor défilant devant mes yeux est toujours le même. Des ruines de ce qui devait être une belle ville. Kurz me sort alors de ma rêverie.

- Arrivé dans cinq minutes, prépare toi
- Compris, sulfateuse parée
On arrive en vu du camp des types que l'on doit tuer. C'est un hangar et je vois un seul garde à l'extérieur. Il regarde le véhicule et remarque que c'est un de ses alliés. Le moment qu'il se dise qu'on a pas les uniformes de ses potes, Kurz le projette d'un coup de par-choc et l'écrase à trois mètre de sa position initiale. Je tir dans les mur de contre-plaqué qui doivent servir à délimiter les pièces de l'énorme salle. J'entends leur cris d'agonie et lâche mon minigun pour jeter six grenade un peu partout. Je descend et Siegfried fait de même. d'un signe, il m'indique d'aller d'un côté et qu'il va s'occuper de l'autre. J'avance lentement, la M16 prête à chanté. j'ouvre la première porte, des cadavres déchiquetés sont présent devant moi. un truc tombe sur mon casque, je me retourne... C'est le bras de quelqu'un... première fois que ça m'arrive. la deuxième, je distingue les traces d'une grenade que j'ai lancé. Quatre morts pour cette pièce. La suivante est dans le même état que la première. Soudain, j'entend parlé, je m'approche de la dernière pièce et l'ouvre doucement. <Un gars est en face d'un ordinateur et sa jambe pisse le sang.

- Ici avant-poste sept, nous avons été décimé....
- Qui, qui a fait ça.... derrière vous!
Trop tard, je brise la nuque du soldat. J'enlève lentement mon casque ainsi que mes lunettes.

- Qui êtes vous.... Des mercenaires?
- Oui, mais pas n'importe lesquels, nous sommes des ISM et nous allons vous tuer jusqu'aux derniers
J'arrache la prise et l'écran s'éteint rapidement. je remet mon équipement et reviens à la voiture blindée. Kurz m'attend. On grimpe dedans, toujours lui pilote et moi artilleur. nous nous dirigeons vers le second camps ennemis espérant réussir le même massacre que cette fois-ci. Parce que là, on a franchement géré.

Un tank-un putain de tank-nous est tombé dessus!

-Et ça vous arrive souvent d'attirer les emmerdes?!
-Pratiquement à chaque missions...
Bon,va faloir assurer là!
Je tente de voir si je peux tenter une attaque-surprise, qui est très rapidement stopée par un tir nourri d'une mitrailleuse...
-Bon, ça a foiré...Des idées?

Jack se lève, attrape une pierre et la lance. L'artilleur doit être un crétin, car il canarde l'endroit où est tombée la pierre, le laissant totalement à découvert pour la riposte de Jack!
Privé de son artilleur, le tank ne pouvant risqué un tir d'obus tente de nous écraser.Je lui passe dans le "dos", accroche deux grenades explosives sous le moteur, et bingo! un tank en moins! Le pilote est forcé de sortir et de nous donner la position et l'itinéraire de toutes les patrouilles si il ne veut pas se faire exploser façon puzzlz.

Au suivant, nous arrivons à deux cent mètre lorsque nous l'apercevons. C'est pas un avant-poste mais un bunker! Le bâtiment est totalement renforcé par des plaques d'acier et de lourde portes bloque l'accès à l'intérieur. On observe les défenses, deux GP-12 sur pivot en hauteur, un lance-grenade automatique est positionné sur un talus de débris. Je compte dix gardes dehors en plus des artilleurs. La technique de foncé dans le tas ne risque pas de fonctionné de plus on remarque qu'il sont en état d'alerte. Deux jeep comme la nôtre sort et part dans un direction qui doit être le sud si je ne me trompe pas. Comment ouvrir ces portes et se débarrasser des artilleur. Je ne sais pas si nous y arriverons.... J'ai une idée! J'espère que ça conviendra à Recht.

- On envoie la jeep exploser grâce au grenade dans la porte pour les faire sortir puis on les abats de positions dans les ruines
- D'accord pour ce plan mais avant, il vaudrait mieux abattre les artilleurs... je m'en occupe si ça ne te dérange pas
Je lui fais signe que je suis d'accord. J'installe un système de mise à feu sur les grenade et prépare le véhicule pour son grand impacte. je regarde la scène quand un homme se fait arraché la tête puis un autre et enfin le dernier. Je lance notre bombe sur la porte, cette dernière éclate en un magnifique feu d'artifice arrachant des morceau d'acier allant tranché quatre gardes. C'est magnifique. Je grimpe dans le bâtiment à ma gauche et monte trois escalier en moins de trente secondes pour trouver un bonne angle de tirs. Notre plan fonctionne comme sur des roulettes, les soldats ennemis sortent et cherche ce qui ses passés. Ils tombe comme des mouche sous les tirs de Kurz. Je met mon oeil dans mon viseur ACOG et fait de même. je tir en semi-automatique et rate environ la moitié de mes tirs. J'en ai tué quatorze avant de devoir recharger. Puis, douze pour le deuxième et trois en plus d'un coup de lance-grenade. Plus personne ne sort....

- Couvre moi, je descend puis je te couvrirais
- Reçu
Je descend donc les trois étages et avance d'un couvert à l'autre vers l'entrée. Une fois à dix mètres des portes éventrées, je protège mon allié d'éventuel tireurs. Nous allons désormais nous occupé de ceux encore à l'intérieur. Je vérifie mon arme, elle fonctionne bien et Kurz recharge, il me fait signe pour me dire qu'il est bientôt à court de munitions.

Bon, selon les infos glâner auprès du pilote, la prochaine patrouille passera près de notre position dans 5 minutes et ne devrait pas être trop difficile à éliminer...j'ai pourtant quelques doutes car le tank n'était m^me pas censé arrivé avant 30 minutes...

C'est Jack qui est chargé de guetter leur approche pendant que je leur prépare une surprise...
Bon, ils devraient arriver d'une seconde à l'autre,maintenant...Ah, je crois que je les vois-
...
WHAT THE FUCK!!!!
Quoi!? Qu'est-ce qui se passe !?
Je jette un oeil là où les ennemis sont censés arriver, et là
...
En effet, what the fuck!...
Devant nous se dresse un véritable bataillons (30-40 guardes) plus surarmé que les Etats Unis contre Le New-URSS!!!

Bon, on fait quoi?
Eh bien, je suggère une retraite discrète pur sauver nos vies...
Ca marche!!
Mais j'aurais dû savoir que ça ne saurait pas aussi facile...

Au moment où je met un pied sur le tas de gravas sur lequel on s'était installé-et qui tenait très bien-s'est effondré, bousillant toutes les chances qu'on avaient de s'éclisper en douce...
Mais c'est pas vrai! T'as écraser un chat noir sur un mirroir en passant sous une échelle ou quoi?!!
Tu crois vraiment que c'est le moment de faire de l'humour?!!
Les soldats étaient en train de nous encercler !
Qu'est-ce que tu propose?!
Je sais pas...Si seulement on avait de quoi créer un écran de fumée! Mais j'ai pas de grenade fumigène!
Ca avait vraiment l'air d'être fini pour nous...J'aurais vraiment péféré creuver autrement!!

Je crois que j'ai ce qu'il faut!
Il sort alors de sous son manteau un bâton de dynamite!
Jack...t'es un génie! Vas-y!!
Il alluma le bâton et le lança dans les restes du tas écroulé et lorsque il explosa, il projetta tellement de fumée que les gardes n'arrivaient même plus à se distinguer les uns des autres!!
On en a d'ailleurs profité pour en dérouiller quelques uns, ce qui a entraîné les autre a tiré dans le vide comme des crétins!

Quand lea fumée s'est dissipée, presque tous les soldats gisaient sur le sol...
Tu sais, quand je vois qu'on a réussi à ce tirer d'un truc pareil,... je me demande si t'as vraiment la poisse!

Dès que nous entrons, des tirs foncent sur nous. Nous les esquivons et nous retrouvons chacun d'un côté différent. Mon allié entre dans un couloir et je le perd de vue. JE doute qu'il se fasse tué donc je vais m'occuper un peu de moi, je mon un escalier et me retrouve à l'étage du haut. Des ennemis me suive, je leur barre la route avec une grenade incendiaire. Une fois mes arrière nettoyer, je recommence mon avancée. Je me trouve sur une balustrade, un mur à ma gauche et une barrière me séparant d'une chute probablement mortelle sur la droite. Deux hommes arrivent en face de moi et je les tues avec une moitié de chargeur. j'espère que je vais pas tomber à court de munitions, je ne sais plus où j'en suis avec mes chargeurs. Un autre type sort et dévie mon canon. Deux coups sont partis puis je lui met mon coude dans la gueule et le propulse sur la barrière avec l'épaule. Il est sonné lorsque je lui donne un coup de pied dans l'abdomen l'envoyant au-dessus de la barrière. je continue ma route dans le complexe, les rayons métallique sur les côtés me font supposé que ce devait être un centre commercial ou un truc du genre. Je sort d'une des rangés lorsque je me fait pilonner par un gars derrière un comptoir. Je me met à genoux pour ensuite me retourner rapidement vers lui, je le surprends, et lui explose la tête d'un tir parfait.

- Il est ici!
Une demi-douzaine de soldats sortent par une porte que je n'avais pas vue mais j'ai le temps de réagir, je vide le reste de mon chargeur de M16 ainsi que le tube-lance-grenade. j'ai repeint le mur dans les tons rouges, c'est une merveille. Je passe par le trou que j'ai fait dans le mur. Petit rechargement (c'est devenu automatique à force). Puis l'horreur. Je suis touché au ventre et me retrouve au sol. C'est douloureux.... vachement douloureux. Je regarde mon ventre et là un spectacle sans nom. Mon M16 est déchiqueté, elle est devenu inutilisable. Un type s'approche de moi, je lui attrape le pied le met au sol pour lui écrasé la tête sur le béton. Je roule pour évité une nouvelle volée de plombs. J'attrape mon USP. Je sort du coin qui me servait de couvert et tir sur le soldat qui a détruit mon arme. La première de mes balles lui arrache la joue, la suivante lui transperce la gorge, la troisième le rate mais la dernière lui crève l'oeil gauche. Voilà, c'est fini... je regarde là où j'ai mal et remarque que je ne saigne pas mon M16 ma sauvée la vie. je vais voire la gueule de celui qui a mis fin à la sienne. je me retrouve sans arme puis me décide à prendre le MAR-13 avec viseur holographique de l'autre salaud. cette arme utilise du 7.92mm donc je jette mes chargeurs de M16 qui sont du 5.56mm pour les échangé contre des du bon calibre. Me revoici donc avec le maximum de munitions que je peut porter... ce qui est bien c'est que je pourrais toujours en récupérer sur les cadavres de nos ennemis. Je me remet en route.

- Rend toi connard ou on t'explose la tête
C'est Kurz qui s'est fait encercler par cinq soldats. Il jette son arme au sol et lève les mains. je vise un premier ennemi et lui explose la tête puis en abat un autre d'une rafale bien placée. Siegfried saute au sol, fait une roulade et sort un pistolet dont je ne connais pas le modèle. Il en tue deux autres et je m'occupe du dernier. Je glisse à une échelle et me retrouve à son niveau.

- Merci gars, c'était les derniers
- Ok, tant mieux... on ferrais mieux d'y aller non?
Nous sortons donc du bâtiment et il me dit qu'il a trouvé une caisse avec des munitions pour lui et qu'il a pu faire le plein. Mieux vaut, la suite promès de ne pas être facile.

Nous arrivons finalement à un camp de base d'une patrouille et cette fois, il y a pas d'embrouille: ce n'est qu'une petite escouade!

Bon, ça sera moins délicat que la dernière fois, mais va quant même falloir être discret; sinon on risque de rameuter leurs copains.
Ouais, j'ai pigé: pas de dynamite...
Exacte!
Alors, moi je vais les prendre par la gauche, pendant que toi tu t'occuperas de leur droite. Allez, c'est parti!

Je passe en douce derrière les tentes et m'approche d'un groupe de soldats qui n'a pas l'air sur ses gardes...
Faut jamais relâcher son attention, les bleus...
Et sur ce, je leur balance une balle explosive en pleines tronches: 3 ont complétement éclater, arrosant au passage leurs 2 collègues!
Et c'est là que j'entends le chien d'un flingue être armé derrière ma tête...

Ne disiez-vous pas qu'il ne fallait jamais relâcher son attention?
Vous avez laisser ces pauvres gars crever pour me chopper
Dommages collatéraux, j'en ait peur...Enfin, ne laissons pas leur sacrifice vain!
Alors qu'il s'apprête à appuyer sur la détente j'entend un cri:
TIMBER!!!

Un énorme rocher s'écrase sur la gueule de ce connard et la surprise passée, j'explose les gardes qui restent!

J'te dois la vie, Jack!
Bah! Vous auriez fait la même chose pour moi.
Bon, qu'est-ce qu'on fait maintenant ?
Je propose qu'on rejoigne le centre de la ville. Il ne devrait plus y avoir de patrouille dans les environs...
Si vous le dites- Eh, je crois que j'entends des pas!
PUTAIN DE...MURPHY! Bo, planquons-nous et analysons la situation...

C'est seulement lorsque la nouvelle troupe arrive que je vois dans quelles mesures m'a frappé Murphy...
Wouaw, leur chef a pas l'air commode!
Il parlait du gars de 2m31 avec des cicatrices et des tatouages guerriers sur toutes les parties visibles de son corps, hautement protégé par une armure anti-émeute customisées : crânes accrochés aux épaules, dragon crachant le feu peint sur le devant et le casques à moitié mangé par le sang coagulé...
"Pas commode" est un euphémisme...C'est Karl Van Krauss!

Nous voici au dernier des avant-poste, il est comme celui avec le barbecue, pas très grand et pas très protégé. Je dirais d'instinct qu'il ne devrait pas y avoir plus cinq blaireaux dehors et probablement une dizaine de gars à l'intérieur. Le blaireau, c'est au vu des gardes à l'extérieur, ils sont concentré sur leur partie de cartes et leur armes sont au moins à dix mètres d'eux. Kurz doit se faire la même idée que moi vu sa tête. On décide d'y aller discrètement par signes car la distance qui nous sépare des joueurs n'est pas assez grande pour ne pas qu'ils ne nous entendent. Nous contournons alors leur position pour entrer dans un trou du bâtiment. Je brise la nuque d'un type qui dormait sur un vieux matelas. Lui avait l'air d'être doué, il avais la main sur un pistolet et son arme près de lui en cas d'attaque mais avec des glandus qui surveillent ça ne fonctionne pas très bien. Ce qui doit être le commandent, Siegfried lui a fait une jolie cicatrice au niveau de la gorge. le suivant c'est encore lui qui s'en occupe. Il l'attrape avec un de ses fin fils et l'étrangle jusqu'à sa mort. Puis, nous avons perdu notre avantage.

- Ennemis!
Je me retourne et lui explose le genoux droit et lui met une balle dans le coeur. Au moment où son cadavre touche le sol, trois autres soldats sortent d'une pièce. Mon coéquipier s'occupe de celui de gauche et moi des deux autres. Nous avançons vers ce qui doit être la sortie. Les gars qui jouaient au cartes entre et nous les acceuillons en les transformant en passoires trop trouées. je recharge, il me reste cinq chargeur plein et un usé. On monte à l'étage et nous tombons sur une poche de résistance. Ils sont quatre derrière l’embranchement. Ils pilonnent le mur sans faire attention. J'entends le clic du chargeur qui s'enlève et fait une roulade pour me retrouver à croupi en fasse d'eux. Je souri devant leur tête d'ahuris qui ne comprennent pas ce qui se passe. Je les fauche en vidant mon chargeur latéralement. Le secteur est nettoyé. je fouille quelque cadavre pour changé mes chargeurs vide puis fouille la pièce. il y a un terminale d'ordinateur mais je suis pas doué avec ces engins moi... dommage que Shy n'est pas là.

- Oh putain....
- Quoi?
En face de moi, un module lance-grenade pour le MAR-13 que j'ai récupéré. Kurz le voit aussi et comprend mon enthousiasme. J'enlève la lampe pour pouvoir installer mon nouveau jouet et remarque une caisse de munitions pour celle-ci. Des munitions perforantes ainsi que des incendiaire. Le rêve, je fais quelques échange et me retrouve avec cela: une incendiaire dans le tube de lancement, deux autres du même type en poche, deux antichar et deux standard.

- On peut y allé
- il ya a une jeep en bas mais sans arme, on la prend?
- Oui, c'est mieux que de marcher, surtout que le prochain camp est à trois kilomètre de celui-ci
Nous partons donc avec le véhicule blindé. j'écoute la radio ennemis qui fait état des dégâts qu'on a fait ainsi que de la disparition de plusieurs patrouille dans le nord. Hall' samuse.

Juste par curiosité, qui est Karl Van Krauss?
Seulement le plus vieux et le plus violents des membres de la "Neuer Whermacht".
Ce mec a participé à plus de batailles que n'importe quel soldat européen. Il détient également la deuxième place pour le plus grand nombre d'années de "service armé".
Whoa...Mais qui détient le record alors?
Hum...Devine!

Les troupes de Krauss commencaient à quadriller le périmètre à la recherche d'intrus, on devait trouver un plan, et vite!
On pourrait leur refaire le coup de l'écran de fumée?!
Non, ce sont des pros du combat urbain, ils se sont déjà débarassés d'ennemis derrière des écrans de fumée qu'ILS avaient déployer...
Les soldats se rapprochaient dangereusement...
On pourrait toujours tenter une approche à laquelle ils ne s'attendraient pas!
Et tu penses à quoi?!

...


Krauss commençait à s'impatienter...Cela faisait 10 minutes qu'ils recherchaient les intrus qui avaient déjà anéanti 2 patrouilles et un tank. Avec un tel palmarès, il s'attendait à un beau spectacle; mais là, on pouvait dire qu'il était déçu...Il allait sans doutes tombé sur eux, cachés dans des décombres et les abbatres...Quelle ennuie...
Soudain, une silhouette apparu sur la facade renversée d'un immeuble
KRAUSS!!!
Tiens, tiens...Regardez qui va là...


...


J'espérais sincérement que le pland de Jack allait marcher, car je ne pouvais m'empêcher de m'imaginer avec un grand panneau au-dessus de la tête disant: "REGARDEZ MOI, JE SUIS UNE CIBLE FACILE! DESSENDEZ-MOI!!"

Krauss s'est approché, suivi par ses hommes...
Hartigan, comme on se retrouve! Le monde est décidement très petit!
Beaucoup trop petit à mon goût! J'aurais bien aimé ne jamais revoir ta sale gueule!
Aouch! C'est moche ce que tu dis! Si je me rapelle bien, c'est de ta faute si ma tête ressemble à un mauvais collage!
Tu peux parler! Ma cicatrice me démange chaque fois que je pense à ta sale tronche!
Ce n'est pas qu'échanger des politesses et évoquer le passé me fatigue, mais j'ai des ordres: il faut que je te ramène à la base, refroidi et en morceau de préférence. Mais ne t'en fais pas, ça n'a rien de personelle...
Gagner du temps, juste un peu...
C'est bizarre que tu suives des "ordres". T'étais pas un freelancer?
Et bien les temps changent. Il faut suivre le mouvement, sinon on est laissé derrière. J'ai qu'à te regarder pour savoir que j'ai fait le bon choix- Attends, c'est pas ton genre de demander des trucs comme ça...
Oh, j'avais juste besoin de t'occuper encore 10 secondes...

A ce moment, Jack sort de sa planque et se jette sur Krauss...qui lui met une balle dans la poitrine avant de l'envoyer valser d'un coup de pied!
Tsk Tsk...Hartigan, tu croyais vraiment que je tomberais dans un piège aussi grossier...
En fait...ouais!
Krauss regarde Jack comme si c'était un fantôme...
Veste blindée "bitch"! Oh, et si tu regarde à tes pieds, tu verras les deux grenades que j'ai lâchée quand tu m'as tiré dessus...
Krauss et ses hommes n'ont pas le temps de s'éloigner que l'explosion les frappe de plein fouêt!

Bon, je dois reconnaitre que c'étais un bon plan...
J'ai adoré sa tête quand il a vu les grenades! Elle doit sans doute traîner dans les environs-
HARTIGAN!!!!
Cet horrible cri résonne dans l'air et nous fige d'effroi...
MERDE!, mais c'est pas vrai!

Nous nous sommes arrêté dans les ruines d'un ancien hôpital. Nous avons dormi environ deux heures chacun à notre tour pendant que l'autre surveillait. Faire cela nous à remis sur pied et prêt à en découdre. j'ai aussi trouvé de la bonne vieille morphine. Je la prend au cas où on serait blessé. nous retournons au véhicule que nous avons rempli de munitions. le plan indiquait une zone verte ce qui voulais en faite dire une cache d'arme. Trois caisse de munitions standard pour mon arme, une pour celle de Siegfried ainsi que trois tube lance-roquette. Nous voici donc sur les routes à pleine vitesse. Soudain à un tournant Recht s'arrête brusquement et vire sur le côté.

- Putain! Qu'est-ce qui se passe
- Un tank, un tank voila ce qu'ils nous ont envoyé
C'est pas vrai. On se casse mais le char d'assaut nous suit à la trace. Nous le semons enfin grâce à une ruelle. Je fouille à l'arrière et prend un des tube lance-missile vu la taille du truc, mes munitions antichar de 40mm ne devrait pas lui faire grand chose. On redémarre mais cette voici, je passe ma tête par la trappe du haut. Nous retournons sur en arrière et tombons en face de notre cible. Je l'aligne et tir mais le missile par dans tous les sens pour finalement ricocher sur le blindage du tank. Je m'abaisse et Kurz bat en retraite. Je sort le deuxième tube de lancement et l'arme. Après un détour, nous arrivons derrière notre cible. Un artilleur à pris la mitrailleuse du dessus. Je reste debout, les tirs passent à côté. Je me concentre et le missile va pile là ou je le voulais. le moteur du char explose et il est en prise avec les flammes. L'artilleur sort du véhicule mais ses jambes sont brûlés. Recht l'achève en l’écrasant sous notre roue.

- Bien joué pour le pilotage
- Bien visé
Nous reprenons notre route et nous arrêtons à cinq cent mètre du fortin ennemis. Nous marchons dans les ruines, je porte le dernier tube de lancement sur mon épaule pour nous retrouver un peu en hauteur. le vue sur l'objectif est parfaite. La position ennemi est composé de deux bâtiment et d'un parc de véhicule. il une a dix jeep avec gatling, deux normales et une avec un lance-grenade automatique. Le tout est entouré par une muraille préfabriqué en béton. Il n'y a pas de tour de garde. Mais on remarque deux positions de sniper. Ces types non pas l'air commode. Ils sont tous sur leurs gardes. On réfléchis à comment attaqué cette position. C'est kurz qui trouve le premier.

- Voila ce qu'on va faire...
Le plan est assez simple. il y a deux citerne de carburant l'une à côté de l'autre et nous allons nous en servir comme diversion. pour cela, il va resté ici et utiliser le lance-missile puis il abattra les snipers pour finalement me couvrir car mon job sera de massacrer tous les gens dans les bâtiment. c'est un plan risqué mais j'estime que nos chances de réussite sont correctes. je ramène la caisse avec des munitions pour lui. Il en aura besoin et il sort un viseur longue porté que je n'avais pas remarqué.

- Tu sors ça d'où?
- Je l'ai pris dans la cache pendant que tu chargeait la jeep
- Ah ok... tant mieux ce sera pratique
Je descend et me met en position devant un des mur. Je change ma munitions incendiaire de 40mm par une standard qui devrait me permettre de faire un trou pour que je puisse passer. Je n'attend plus que la fête commence.

(...)
MERDE, ,mais c'est pas vrai!
Krauss était brûlé, meurtri, mais toujours vivant...Certains de ses hommes avaient également survécu à l'explosion.
Bon, on a plus qu'à appliquer la bonne vieille méthode...les défoncer!
C'est un plan complétement cinglé et qui pourrait nous tuer!...ALLONS-Y!

Nous nous sommes jetés dans la mêlée, en abbattant autant d'ennemis que possible; j'ai vu Jack en décapiter un pendant que j'éclatait le crâne d'un autre d'un coup de crosse (j'étais à court de munitions explosives). Je me suis ensuite planqué derrière un murret pour charger mon arme avec des balles incendiaires...Je n'avais jamais essayé ces engins, mais j'en ai bientôt eu l'occasion!
Une armoire à glace m'est tombé dessus et a essayé de m'étrangler! J'ai réussi à briser son étreinte, mais alors que je cherchait à retrouver mon souffle, il m'a donné un coup de pied en pleine figure!

Grogi, je l'ai vu s'approcher de moi avec un énorme bloc de pierre à la main...J'ai pu attraper mon arme juste au moment où il allait me l'écraser sur la tête et j'ai pressé la détente: le monde s'est arrêté, j'ai été ébloui par une lumière vive et brûlante, et ,quand j'ai ouvert les yeux, j'ai vu que mon attaquant avait été propulsé à cinq mètres et qu'il était complétement calciné; on aurait dit un steak qu'on aurait oublié sur le grill...
Ca c'est un fusil number one!

J'ai quitté ma cache et j'ai jeté un coup d'oeil aux alentours: tout était calme, et tous les hommes de Krauss gîsait mort ou partiquement à terre.Mais je ne voyait ni Krauss ni Jack...

HARTIGAN!!!
Oh, merde...
Krauss, encore plus amoché qu'avant, tenait Jack en joue avec son shotgun!
Sors de là gentiment, Hartigan, ou le morveux y passe!
Laisse-moi Hall'! Je m'en sortirais bien tout seul!
Je me demandais bien comment il pourrait s'en sortir, quand j'ai vu que son bras bionique n'était pas surveillé...

Je suis sorti lentement de ma cachette, mon arme bien en évidence, sous le regard extatique de Krauss.
C'est moi que tu veux, alors laisse partir le gamin!
Oh, Hartigan,tu crois vraiment que ça allait être si facile?
Et sur ces mots, il me balance une décharge de chevrotine dans le bide!
Hahaha! Si tu savait combien de temps j'ai attendu de te voir mordre la poussière! Maintenant, au tour du-
Dans son monologue, il n'avait pas fait attention à Jack, qui aattrapé avec son bras bionique le canon de son arme, le tordant, avant de lui décocher un crochet du gauche!
Espèce de pourriture de fils de pute!

Jack et Krauss ont ensuite commencé un combat à mains nues, mais je savais que Jack ne tiendrait pas très longtemps!
J'ai fait appelle à toute ma volonté pour me remettre debout.
Et, au moment pù Krauss allait porter le coup fatal, je me suis jeté sur lui!
Il m'a frappé dans mes blessures, mais moi, je teneis bon! Je lui ai décoché quelques crochets et même un uppercut qui lui a brisé quelques dents...Malheureusement, il m'a mis un coup de boule qui m'a fait perdre l'équilibre et me rattraper à sa ceinture...
Tout en riant, il m'a donné un coup de pied pour me faire lâcher et m'envoyer au sol!

Voilà ta vraie place, Hartigan: rampant dans la poussière à mes pieds!
Tu sais...argh....pour un mecd s'aimant tellement...ahh...j'aurzis cru que tu ferais plus attention à tes affaires...
De quoi est-ce que tu parles?!
Hahaaa....de ça!...
J'exibe ensuite 2 petites goupilles...
Oh non, OH NON!!!! PUTAIN DE MERD-
Tentant désesperement d'enlever ses grenades, il ne pu que me regarder avec haine et horreur quand l'explosion l'a frappé!

Je me suis ensuite écroulé de fatigue. J'ai entendu la voix de Jack:
Alors...On l'a niqué?...
Ahhh....On l'a niqué!...

La fête commence, les flammes de l'explosion s'élève dans les cieux. Le bruit est intense mais le mur me protège du souffle en même tant que de la chaleur que ça a du produire. Ce mur qui m'a protégé, je le détruit sans vergogne. Le trou n'est pas très grand mais j'arrive à me glisser dedans. L'intérieur de la base ressemble à l'enfer, des débris sont partout, des gens en feu, des cadavre carbonisées et la panique sont partout. Un type passe à côté de moi sans se rendre compte que je ne tient pas avec lui. Je lui tir une balle. Un autre gars se fait fauché par une balle dans la tête et je regarde dans la direction de Kurz pour lui faire signe. j'entre alors dans le premier bâtiment. les couloirs sont nickel chrome, pas de crasse et le carrelage brillant d'un blanc éclatant. C'est assez différent du taudis auquel je m'attendais. J'avance, un soldat sort d'une pièce pour se prendre une petite rafale de ma part dans la tête. Ses amis sorte l'arme au point mais subissent le même sort. Je recharge et me rappel que je n'ai plus de munition dans mon lance-grenade. Je remplace donc la douille par une munition incendiaire. je fouille les pièces une à une mais la plupart sont dehors pour s'occuper des flammes. D'ailleurs, je regarde la fenêtre et malgré les dix minutes venant de se passées les choses de l'extérieur non pas changé sauf peut-être en pire. Plusieurs des jeep ont explosées. Je continue sur ma lancée lorsqu'un retardataire arrive avec un tuyau d’incendie. Il me regarde pendant quelque secondes se demandant ce que je fait la puis il remarque le ISM marqué sur le côté de mon casque. Il jette ce qu'il tenait dans les mains mais je l’assomme d'un coup de crosse. Je lui écrase la tête jusqu'à ce qu'il ne gémisse plus et qu'une flaque de sang se dessine à l'arrière de son crâne. Ce n'est pas une belle mort mais un con pareil de valait pas que je me fatigue. je monte à l'étage suivant par un escalier en colimaçon. Là, je tombe en fasse d'un accueil assez sérieux. J'ai juste le temps de me mettre à couvert que je me fait arroser de plombs. Je suis dos à un bureau de métal. Les balles ricoches sur l'acier avec u bruit strident qui me casse les oreilles. Puis, j'entend un bruit sourd et regarde à ma droite. Je shot dedans et la propulse par la fenêtre qui se brise. Cela les a déconcentré, je me relève et fait un tir groupé comme je l'ai jamais fait. Leur corps passent les un après les autres sous le point rouge de mon arme. Le clic caractéristique du chargeur vide, merde il en reste trois. Je lâche mon MAR-13 qui chute vers le sol et sort mon USP. Le premier reçoit trois impact, le suivant deux dont une dans la tête et le dernier se fait castrer sans anesthésie.

- Putain, s'pèce de salaud, tu va crevé
- S'cuse mais j'ai des doutes là-dessus
Je l'achève d'une balle dans la tête. Puis ramasse le fusil d'assaut que j'avais laissé tomber. je recharge et reprend mon nettoyage. Une passerelle relie les bâtiment. Je l'avais pas vue celle-là. Je cours tout le long et me fait remarquer. Les tirs fusent autour de moi cependant j'arrive à la porte que je défonce avec l'épaule. Entré charismatique pour les deux cons qui me regardent ce demandant ce qu'il sont censé faire. Je les abats par une rafales qui mange mon chargeurs. Tient, il était pas complet celui-là. J'en ramasse un des poche d'un des nouveaux cadavres et remplace aussi mes porte-chargeur vide. Après deux pas, je tombe dans la salle d'entrainement au vu des machine de musculation qui traînent. Une escouade entière va passer par la porte, j’approche le doigt sur la gâchette du tube lance-grenade. La munition entre dans le corps d'un gars qui s'écroule et rien ne se passe. puis, la seconde d'après, le corps de la victime est déchiré par des jets de flamme bleu. tous finissent leur vie de la même manière. Efficace mais problématique. l'escalier est devenu impraticable à cause des flammes. Puis, miracle, un trou du à l'explosion ayant détruit une petite partie du mur à aussi creuser dans le sol de l'étage. Je saute et me retrouve en face du type qui était sur l'ordinateur. Je n'ai pas le temps de soulever mon arme que je prend une balle dans la tête. Je suis au sol, le casque à arrêté le coup de peu, je sens la pointe de la balle qui frôle mon crâne.

- Alors qui va crever, toi ou moi
- Je propose que ce soit toi d'abord
Il me donne un coup de pied dans l'abdomen mais il a une force de lopette, je fais semblant d'avoir mal pour qu'il se rapproche.

- C'est ta fin mercenaire, tu vas crever comme un chien galeux
Je le met au sol en me relevant, le voila dans l’état où je me trouvait précédemment. je ne lui laisse pas le temps d'attraper son arme en lui écrasant la main. Les os craquent et le sang gicle. Je prend mon USP et l'achève. Je récupère mon équipement et enlève mon casque pour le jeté par-terre. Il me gênerais plus qu'autre chose. Il n'y a plus de cris, juste le son de la tôle se déformant à cause de la chaleur. Une ombre passe dans le coin de mon oeil et je la suit. Nous arrivons aux cuisines. Là, un gamin, se sert dans un frigo. Il est vêtu d'haillons. Il se retourne lorsque je cogne des casseroles. Il veut fuir mais je l'attrape. Cependant, cette crapule me griffe le visage et je le lâche. Je me retourne et je vois Kurz l'attraper. Il se débat dans tous les sens mais mon ami est beaucoup plus fort que lui.

- Eh gamin, tu fais quoi ici
Il s'arrêt soudainement.
- Je survis....
c'est une fille, une fille de même pas dix ans. Elle à les cheveux courts et sous la crasse ses traits sont difficiles à remarquer. Je me demande ce qu'on va en faire.

Bon sang! Mais qu'est-ce que c'est que ce bordel !?
Le signal de départ de la fête! Allez viens, ou on va tout loup-Aghh!
J'ai l'impression qu'on poignarde ma poitrine...je dois avoir quelques côte cassées...en plus, je crois que mon cœur commence à me lâcher...

Fais chier...
Je me fais un bandage de fortune et prends mes médocs-coup de bol, ils calment aussi la douleur!
Bon, il va me falloir 5-10 minutes pour que les médocs fassent effet...
Moi aussi vois-tu, ça me ferait du bien de souffler...

(10 min + tard)
Je check mon matos une dernière fois; plus de munitions explosives, 19 munitions incendiaires, plus de grenades du tout...
Ca risque d'être chaud, mais je devrais m'en sortir...
Jack, lui a plus de chance: il lui reste 5 bâtons de dynamites ,2 chargeurs pleins et un entammé.

alors, on y va , ou vous avez besoin de vous reposer?!
Passe devant Jack, j'ai pas envie de me prendre une mine...

La gamine, moi et Siegfried ont commence à bouffer. la cuisine est propre. Nous nous faisons des sandwiches et discutons un peu. Elle s'appel Esther, ses parents se sont fait tuer il y a environ deux ans lorsqu'elle en avait huit. Depuis, elle vole les meurtriers de ses parents mais ne les attaques pas de peur de mourir. Elle nous a demandé ce qu'on était et la vérité. Elle parle comme un adulte, je suppose que voire des gens mourir forge le caractère. Elle nous avoue qu'on la impressionné, elle ne pensait pas que deux hommes seuls pouvait détruire ce genre de camps. Elle en a vu plusieurs essayer qui ont fini empaler. Après le repas, on fait un marché, elle nous guide dans le labyrinthe de ruine et on la sort de ce trou à rat. Je m'en occuperais avec l'aide de l'ISM. Elle me dit vouloir rejoindre nos rend pour savoir tuer des salopards comme ceux qui ont tué sa famille.

- Suivez moi
Nouas avançons pendant environ vingt minutes. On doit parfois se faire la courte échelle pour passer certains endroits. À d'autres nous devons ramper. En résumé, c'est pas facile. Nous arrivons enfin en face de le dernier avant -poste. c'est une copie quasi conforme à l'autre sauf que les jeep son remplacé par six hélicoptères. Bizarre qu'on n'en aille pas vu. Je laisse la gamine au soin de Kurz. On va appliquer le même plan sauf que je ferais péter les citernes avec une munitions antichar. Je suis en position. Mon tir fait exploser le carburant lançant des gerbes de flammes partout. Puis les coups de feu commencent. je fonce me mettre à couvert derrière une carcasse de ce qui devait être un hélicoptère et me prépare à me battre.

Bon, c'est certain: Rico est passé par là.
L'entrée du camp est entièrement calcinée, ainsi que les cadavres à proximité...
Eh ben! Tes potes font pas dans la dentelle...
C'est le genre de la maison...

On décide finalement d'explorer les ruines...Et on tombe sur un petit pactole: grenades frag, flash et fumigènes, un BAR pour moi avec 60 munitions et un Javelin avec 5 missiles pour Jack!

Une fois le moment d'euphorie passé, nous avons prit la direction du second campement; c'est pratiquement sûr que les autres sont déjà là.
Et comment on sait qu'ils n'ont pas encore commencer?
C'est facile: on a pas encore entendu de cris d'agonie!

J'avance dans les flammes, chaque fois que je vais tué quelqu'un, Kurz s'en occupe avant moi. Arh, il pourrait m'en laisser tout de même. J'arrive finalement dans le bâtiment. un groupe de bleusailles se dirige vers moi. Ils sont entrain de se préparer pour sortir dehors éteindre le feu. Je les fauche en vidant mon chargeur mais deux tiennent encore debout. j'appui sur la détente de mon lance-grenade. clic... merde j'ai oublié de recharger. Une balle me frôle l'arcade sourcilière j'envoie mon arme sur eux. Cela les déconcentre me permettant de me rapproché d'eux.

- Bouffez vous ça crétins
Un coup de pied dans la rotule du premier et j'écrase le larynx du suivant. Il à cinq minutes avant de mourir à cause de la contraction de sa voie respiratoire. Celui au sol me regarde lorsque je lui brise la nuque le tuant sur le coup. Un sergent arrive derrière moi sans doute pour voire où son passé ses hommes. Il dégaine et je me laisse tomber au sol. Dans ma chute, je dégaine mon USP et le canarde. Je tombe à court de munitions pour ça aussi mais le type en fasse est crevé donc pas de problème. Je recharge mes trucs un à un, en commençant par l'USP puis le MAR-13 et enfin le lance-grenade avec une munition incendiaire.

- Ouf... je m'en suis sorti
- Pas si sur.
Trois gardes sont en face de moi, je n'arriverais pas à dégainer assez rapidement. Puis, miracle, une grenade roule jusqu'à leurs pieds.

- Sous vos pieds les gars
- On tomberas pas dans ta ruse...
L'explosion les transforme en bouillie. Je me demande comment cette grenade est arrivé là.

- Content du coup de main
c'est la gamine... Elle est doué.

- Bon, reste avec moi et prend leur un pistolet ça devrait t'être utile

On arrive juste à temps !
T'as raison! allez, si on se remue pas, il en restera plus pour nous!!

Nous fonçons à la rencontre des soldats; ils avaient déjà du mal à tenir contre Rico et Kurz, lais là, ils sont complétement débordés!
Je rentre dans un groupe de 5 bleus; je défonce le premier d'un coup de coude, je mets un coup de flingue au deuxième, chope le troisième à la gorge et plaque mon canon sur le quatrième!
Le cinquième n'aurait pas pu les aider car il s'est applatir la tête à coup de masse!

Très beau swing Jack!!
J'explose et brûle la tête de mon prisonnier.
Merci, je l'ai pratiqué pendant des années!

Alors qu'on s'apprête à recommencer l'opération "marravons-leurs-faces-à-ces-connards", j'aperçoit une silhouette familière...

on vient de sortir du bâtiment, personnes au deuxième étage. Cependant, on est tombé sur une petite armurerie où la gamine à pu échangé son pistolet par un MP-12 ainsi que prendre un harnais avec 3 porte-chargeurs remplis. Elle tient bien son arme et elle comprend après seulement deux minutes comment ça fonctionne. Y a pas à dire, elle est doué pour ça. Nous sommes donc sur la zone d’atterrissage des hélicoptère. J'ai tué trois ennemis entrain d'éteindre des feux et Esther en a eu un.

- Oh putain!
Cool, j'aperçois Hall' et le nouveau. Je me dirige vers eu mais la petite se prépare à tirer. J'attrape le flingue à tend et le soulève. Les tirs frôle les cheveux de nos amis. Je la regarde et elle se demande ce qui se passe.

-Quoi?
- Ce sont des potes à Kurz et moi
Elle me regarde de nouveau et se rend compte de la bêtise qu'elle allait faire.

- Dés... désolé Rico...
- Pas grave, tu les connaissait pas et tu as eu de bons réflexes mais observe mieux ta cible pour savoir si c'est un allier ou un ennemi. cela éviteras des tirs amis qui ne sont jamais très appréciés
Nous nous dirigeons donc vers Hall' et l'autre.